Déjà un mois que Mélusine est partie de Paris. Après un peu plus de 7000 kilomètres, elle est au Kazakhstan. « j ai bien avance en Russie sur d’assez bonne route. Je touche du bois je ne me suis jamais fais arrêter en Russie par la police même si il y des flic partout ».
Maintenant tout a changé. Les pluies ont laissé place à la sécheresse, avec une végétation très rase jaune ou inexistante. « Le vent est assez fort et cela me fait un peu pencher avec la moto mais rien de grave ni de trop impressionnant. Cela déshydrate la bouche, c est tout. Mais les routes sont dans l’ensemble assez pourries, avec de gros nid de poule et je ne peux guère aller plus vite que 50km/h. des que je m’arrête, je meurs sous mes vêtements. »
« les hôtels sont assez cher, mais les gens me conseillent d aller dans des hôtels a cause des loups. Mais je n ai pas vraiment l impression que ce soit dangereux. le plus dangereux sont les chameaux, vaches et chèvres qui décident de traverser la route juste pour le plaisir, pile devant la moto. Pour l’instant le Kazakhstan se passe bien les gens me klaxonne et me prenne en photo avec leurs portable en me dépassant. Comme ici on parle aussi le russe, je peux encore me faire un peu comprendre. »
Cette étape devrait être assez courte avant d’entrer en Ouzbékistan, l’un des pays importants du trajet de Mélusine et elle devrait passer plusieurs jours à Samarkand et Tachkent… et surtout réobtenir des visas pour rentrer à nouveau au Kazakhstan et en Russie. Une autre histoire.
One month already since Mélusine left Paris. After a little more than 7000 km she is in Kazakhstan. « I did well in Russia on fairly good roads. Touch wood, I was never stopped by the Police even if their presence is felt everywhere ».
Now all has changed. Rain has given ground to scorchness with, if any, very short yellow vegetation. « The wind is very strong and tilts the bike. Nothing too bad or scary though. Makes me dried mouth that’s all. On the whole the state of the roads is pretty horrible with enormous pot-holes. I can’t go faster than 50km/h and as soon as I stop I die of heat under my clothes ».
« Hotels are rather expensive but people advise me to go there because of the wolves. But I’m not sure they are more dangerous than the camels, cows and goats that suddenly decide to cross the road right in front of the bike just for fun. For the moment all goes well. People toot and take pictures of me on their cell phone. As people also talk Russian, I can still make myself understand a little ».
This stretch before Uzbekistan should be rather short. Uzbekistan is one of the important stops for Mélusine and she should spend several days in Samarkand and Tashkent… and most of all get new visas to cross Kazakhstan and Russia again. But that is another story.
Je me régale de lire le récit de cette aventure unique. Bravo miss.